Vous avez le projet de partir, de prendre votre temps pour naviguer, de faire de longues traversées, de découvrir de nouveaux horizons, alors n'attendez plus louez en location longue durée.
Pourquoi choisir de louer un bateau plutôt que de l'acheter ?
C'est une formule de plus en plus répandue, la demande se développe et surtout c'est une solution avantageuse financièrement.
Pas besoin d'investir dans l'achat d'un bateau (capital immobilisé), de payer l'emplacement du port à l'année, de payer l'assurance, l'entretien (carénage, électronique, accastillage), les réparations, tous ces points sont exclus lorsque vous louez. Seul point négatif, vous n'avez pas vraiment le choix du bateau.
Le principe est le même que lorsque vous louez pour une semaine, définisser une période (généralement de 3 à 12 mois), le prix de la location varie selon le modèle et la durée (30 000 euros/3 mois à 70 000 euros/10 mois) plus une caution. Un bateau entièrement équipé grand voyage vous sera prêté.
Quelques exemples de bateaux proposés à la location longue durée aux Antilles :
3 modèles de catamarans, Nautitech 40, Nautitech 44 et Nautitech 441. Équipé confortablement en électronique (panneaux solaires, dessalinisateur, générateur, grands réservoirs d'eau et de carburant...)
Et en Méditérranée Lagoon 400, Lagoon 450.
Témoignage d'une famille partie deux ans en Méditerranée :
Isabelle, Bertrand et leurs deux enfants Louis et Anna nous racontent quelques moments de deux années de croisière.
Louis a fait des pontons de la Méditerranée son terrain de jeu. La famille a parcouru 10 000 milles, 1200 heures de moteur et a subi deux coups de vent.
"Nous avons décidé de tout larguer, fatigués par une vie de travail et de grisaille parisienne, je rêvais de voile sans trop m'y connaître, en revanche, je maîtrise parfaitement les manoeuvres de mon voilier radiocommandé. Isabelle, journaliste a envie de respirer l'air du large".
Gibraltar : seul intérêt : la promenade en téléphérique pour voir les singes de Barbarie et la grotte de Saint-Michel. Bon plan : mouiller, côté espagnol, dans le port de la Linea.
L'Andalousie : La côte est moche, bardée d'immeubles et les abris gratuits sont rares. Mauvaise nouvelle : on ne peut plus mouiller à Alicante, totalement aménagé en marina. Coup de coeur : le village de San José.
Les Baléares : La bonne surprise ! Iles vertes, calas de rêve, vent conciliant, nouss ommes tombés sous le charme d'Ibiza. A Majorque, nous avons aimé la cala Deia, le quai gratuit de Puerto Soller, l'abbaye de Valldemosa, mais détesté le plein d'eau salé à la marina d'Andraixt. A Minorque, il fait bon flâner dans les ruelles de Ciutadella, plonger dans l'eau turquoise de la cala Mitjana mais payer pour mouiller dans la rade de Mahon, quelle plaie !
La Tunisie : Beaucoup de Tunisiens parlent notre langue et quelle gentillesse. Notre port d'entrée Bizerte, ses barques colorées, sa médina. Plus chic, le village aux volets bleus de Sidi Bou Saïd, mais la place de port est très chère contrairement à Bizerte ou au port de pêche de kelibia. Enfin, Monastir, la marina de Méditerranée pour hiverner 400 bateaux, un climat idéal, des tarifs imbattables.
L'Italie : Le pays du contraste. Les ports sont dégoûtants, les marinas chères mais, partout des quais publics gratuits. Et si les italiens sont bruyants, ils sont aussi charmants !
La Sicile : Dans la baie de Syracuse, nous avons assisté au féerique feu d'artifice du 14 août. Sublime, la navigation de nuit avec, au loin, l'Etna qui flambe. Milazzo, sur la côte Nord, procure une bonne eau à la fontaine située près du port (rare en Sicile). Quant à Cefalu, il propose un joli village médiéval et un port bizarre : le premier bassin avec pendille et eau à volonté est gratuit, le second avec les mêmes prestations est très, très cher !
Les Iles Lipari : Fin juillet, les mouillages sont bondés, rouleurs et peu sûrs, mais une telle magie se dégage de ces îles ! Beaux, le désert lunaire et les fumerolles de Vulcano, les granités (sorbet aux vrais fruits) au bar de Lingua, le pic de Rinella, l'îlot perdu de Filicudi. Tristes, la pollution, le goudron, les bains de boue et d'immondices de Vulcano.
La Calabre : Comme toujours, moins il y a de touristes, plus les habitants sont gentils. A éviter : le port public de Reggio di Calabria, presque intenable, et celui de Saline Ioniche, à l'entrée ensablée. Bons plans Crotone pour faire ses courses avant la Grèce.
La Sardaigne : Un grand regret : n'avoir pu y passer qu'une semaine. L'île donne vraiment envie de s'y attarder au quai public de Cagliari, de lézarder au mouillage de Malfatano. Sans oublier la côte encore sauvage et les maisons couleur bonbon rose de Carlo Forte, sur l'île de San Pietro.
Les îles Ioniennes : Sites sublimes et mouillages de rêve. Le mouillage d'Othonie est bien joli, mais peu fiable, surtout par vent du nord, préférez le port au nord-est de Samothrace. A Paléokatrista, sur l'île de Corfou, les ancres chassent vites et l'orin se révèle salutaire. A Paxos, la baie de Lakka est sublime. Même adjectif pour Port Longos, Port Gaïos, Antipaxos, Mongonisi. A faire : les courses à Leucade, le canal, le mouillage de Vlikho, sans doute notre plus beau mouillage de Grèce : la petite crique au sud de Fiscardo.
De Preveza à Corinthe : Eau gratuite au quai de Preveza, égouts en prime. Filez vite dans le golfe d'Arta, ses dauphins, ses tortues, ses mouillages sauvages. Coup de coeur pour le golfe de Patras avec le vent qui souffle généreusement, Missolonghi, aux airs de Camargue, Trizonia, l'île du silence sans voiture, Galaxidi, chic et sûr pour laisser son bateau et se rendre à Delphes. A voir le canal de Corinthe.
Le Golfe Saronique : Epidaure, bel amphithéâtre et flotille d'américains sympas. A voir : Poros pour ses ruelles, Egine pour ses pistaches et Hydra, qui est pour moi le plus beau village de Grèce, arrivez tôt, on s'arrache les rares places du port.
Les Cyclades : Surtout, prenez le temps d'attendre entre les coups de vent de Nord (plutôt l'été) et ceux de Sud (plutôt) l'hiver). evitez Mykonos, où les ferries font chjasser votre ancre comme un rien (mouillez plutôt au sud de l'île ou gagnez le port de l'île de Tinos). Si vous voulez aller à Santorin, surtout, laissez votre voiture à Ios. Santorin est à couper le souffle, tout comme la promenade pour se rendre au monastère du "Grand Bleu", sur l'île d'Amorgos.
Le Dodécanèse : Difficile d'accès. A Leros, dans le port de Lakka, il y a de l'eau et de l'électricité à quai et un bon mécano. Dans les îles proches de la Turquie, à Kos et Rhodes, notamment, les douaniers sont paranoïaques. Au menu : haine du Turc et paperasserie à n'en plus finir. Rhodes reste un très beau souvenir mais, en hiver le port est une horreur pour tenir, il est sage de mettre un orin et de se" planter" dans la chaîne-mère qui traverse le port.
Les Sporades : Nos îles grecques préférées, à la fois verdoyantes comme les Ioniennes et avec des villages superbes comme dans les Cyclades.
Le Péloponnèse : Nous avons détesté le côté "trou perdu", les rafales à 30 noeuds de Port Kaïo (tout sauf un port). J'ai adoré le village fortifié de Monenvasia, la plage paradisiaque de l'île d'Elafonisos et les terres cultivées...
Vous avez le goût de l'aventure, concrétisez votre rêve et partez en grand voyage. Profitez du séminaire de la grande croisière qui a lieu le week-end du 1er et 2 avril 2017 à Paris pour partager l'expérience d'intervenants qualifiés, journalistes, familles... rencontres et échanges.
Location Ovni 365 à La Trinité/Mer
Bonjour,
Nous avons été ravi de notre séjour. L'accueil au bureau de la Trinité ainsi que sur le ponton ont été parfait: personnel compétant, à l'écoute et efficace. Le bateau était très bien sur tout les plans: état général, propreté et équipement.Le retour de location a été très bien aussi: l'agent chargé de la reprise du bateau était à l'écoute des problèmes que nous avons pu rencontrer lors de notre croisière et y a remédié immédiatement pour les prochains locataires. Le bilan de notre croisière donc très positif, ceci étant certainement du à tout ce que je viens d'expliquer ci dessus.Cordialement